- Alice aux pays des merveilles

 Tout le monde connait l'histoire d'Alice aux pays des Merveilles, ce n'est donc pas nécessaire de la raconter.
C'est avec grand plaisirs que j'ai relu ce livre, c'est un merveilleux contes.
L'auteur Lewis Caroll, ou son vrai nom : Charles Lutwidge Dodgson, a inventé cette histoire lors d'une sortie avec des petites filles dont l'une d'elle se prénommait justement Alice.
Le conte raconte l'histoire d'une petite fille, par une chaude journée d'été, qui s'ennuie et s'endort. Elle va faire un rêve tout à fait extraordinaire, où elle rencontre un lapin habillé d'un gilet, qui parle et surtout portant une montre à gousset. Elle décide donc de le suivre jusque dans son terrier mais elle tombe dans un profond puits...Et là les évènements vont commencer et s'enchaîner sans queue ni tête : la mare aux larmes, les changements de taille, le chat de Chester, le thé chez le Chapelier Fou avec le lièvre de Mars, le bébé cochon et le croquet avec la Reine de Cœur.

Le 2ème tome : La Traversée du miroir et ce qu’Alice trouva de l’autre côté.
Alice, confortablement installé dans un fauteuil du salon avec Dinah s'endort, elle se retrouve confrontée à un nouveau «voyage initiatique» en traversant le miroir, qui prend cette fois la forme d’une étrange partie d’échecs. Alice est le pion de la reine blanche, et doit atteindre la huitième case pour devenir reine à son tour. Dans ce tome, nous rencontrons de nouveaux personnages comme Blanc-Bonnet et Bonnet-Blanc (ou si vous préférez : Tweedle-Dee et Tweedle-Dum), Humpty-Dumpty, le lion et la licorne, le cavalier blanc… Mais c’est le monde du miroir où tout apparait à l'opposé de la normale comme par exemple : il faut courir très vite pour rester sur place, s’éloigner d’un endroit pour s’en approcher, distribuer les parts de gâteau avant de les avoir coupées… Bref, les choses s’annoncent une fois de plus, difficiles pour Alice, dans ce monde où, comme dans le précédent, on aime beaucoup lui donner des ordres, et on tient à tout prix à lui réciter de longs poèmes.
L'écriture de Lewis Caroll est quelque peu dérangeante dans le sens où le rêve ou le non sens, est perçu et ressenti comme vrai, réel comme les animaux qui parlent, le non-existant, les situations impossibles, ce qui fait que le rêve n'est pas troublé.

Ce livre a été adapté en dessin animé : Disney


et en film par Tim Burton :

Et le final est grandement magnifique :
Le film est tout simplement sublime, du début à la fin j'ai adoré. Tim Burton, ainsi que Johnny Deep, sont restés fidèles au roman de Lewis Caroll. Et les couleurs, wahouuu!!! je n'ai pas d'autres mot pour le qualifier.
Tout comme la musique d'ailleurs, qui est très bien adapté au film dont voici le lien pour écouter la musique :
Alice's Theme

2 commentaires:

  1. Je n'ai pas encore lu le livre mais comme beaucoup on me raconter l'histoire étant petit, après je peux vous dire que le film est grandiose ça c'est clair j'en redemande ^^

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  2. J'ai eu un peu de mal avec ce livre personnellement, je n'ai pas trop accroché. C'est un avis personnel bien sûr et au moins, il se lit vite.

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